Je suis une auteure. J'écris. J'écris vraiment toutes sortes de choses.
J'aime aussi travailler de mes mains.
J'aime aussi voir des gens: ma famille, mes amis.
Si j'ai le goût de devenir un auteur, une vraie, je dois dire non à certaines choses:
Si j'ai le goût de devenir un bon auteur, je dois
En fait, je viens de comprendre quelque chose: ce que je recherche, c'est l'autonomie financière, même plus que cela, la liberté financière. Je ne comprenais pas ce concept jusqu'à tout récemment. Je pensais que le fait d'avoir peu de dettes (i.e. la maison seulement) et de travailler pour manger, c'était ça. J'ai compris ça dans un livre de T. Robbins (chapitre 3).
J'aime aussi travailler de mes mains.
J'aime aussi voir des gens: ma famille, mes amis.
Si j'ai le goût de devenir un auteur, une vraie, je dois dire non à certaines choses:
- quelques sorties entre amies le soir,
- du tricot,
- le filage,
- des cours en extra (comme mon cours de graphisme?),
- du bénévolat.
Si j'ai le goût de devenir un bon auteur, je dois
- écrire à tous les jours,
- lire à tous les jours,
- déterminer ce que je veux écrire,
- monter une plateforme d'auteur?
- suivre des cours pour améliorer ma langue écrite
- suivre des cours pour améliorer la structure de ce que j'écris
- faire du sport à tous les jours,
- méditer à tous les jours.
Est-ce que je dois dire non à tout? Je ne pense pas.
Non, car j'ai aussi besoin de travailler de mes mains. Comme une fausse intellectuelle (fausse? Pas sûre!). Pour moi, les écrivains sont des intello dans le sens péjoratifs du terme. Désolée pour les écrivains... En même temps, j'aimerais bien être capable de créer de mes mains. J'aimerais aussi être capable de faire tout cela avec plaisir, et avec la liberté. Pour le moment, je ne peux créer librement. Je travaille. J'ai aussi ajouté des projets de bénévolat à mon agenda.
En fait, je viens de comprendre quelque chose: ce que je recherche, c'est l'autonomie financière, même plus que cela, la liberté financière. Je ne comprenais pas ce concept jusqu'à tout récemment. Je pensais que le fait d'avoir peu de dettes (i.e. la maison seulement) et de travailler pour manger, c'était ça. J'ai compris ça dans un livre de T. Robbins (chapitre 3).
En réalité, ce que je recherche, c'est de pouvoir vivre pour travailler et non travailler pour vivre. Pour ça, selon moi, il faut être riche. Pour être riche, il faut travailler à mettre des sous de côté et les faire profiter. Je ne suis pas certaine que je m'exprime correctement. Idéalement, quand tu travailles, tu as besoin de mettre des économies de côté. Tout le temps. Ces économies ont besoin de fructifier. Si tu es déposes dans des comptes qui donnent peu d'intérêts, ce sera correct mais peu payant. Il importe que ton placement soit placé dans quelque chose qui donne des dividendes ou des intérêts que tu peux immédiatement faire fructifier.
Au moment d'écrire ces lignes, l'auteur encourage à bien rêver et viser haut. Je ne sais pas si c'est ma mentalité du p'tit pain, mais pour moi, à viser haut, tu risques d'être déçue. On verra pour la suite!
Au moment d'écrire ces lignes, l'auteur encourage à bien rêver et viser haut. Je ne sais pas si c'est ma mentalité du p'tit pain, mais pour moi, à viser haut, tu risques d'être déçue. On verra pour la suite!
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